Le goût des mochis au kouign amann est un roman Feel good. Ce n’est pas un genre que j’affectionne particulièrement mais vu que, comme son nom l’indique assez clairement, il propose un combo quant à mon amour de la Bretagne et ma sincère curiosité vis à vis du Japon. Bref, j’ai tenté.
Je vous fais le pitch : ce sont 2 histoires parallèles… jusqu’à ce que, évidemment, elles se croisent (je ne vous divulgache rien tant c’est évident et téléphoné depuis le début du livre).
- Louisa est une architecte d'intérieur, trentenaire, parisienne... et proche du burn-out. Mais Louisa est aussi d'origine bretonne, et elle caresse depuis toute petite le rève de racheter, et de rénover, une vieille ferme abandonné dans on village breton de son enfance... sauf que cette ferme vient d'être vendue mettant à mal son rêve autant que son équilibre déjà précaire. Louisa décide alors de se rendre au Japon, auprès de sa soeur Camilla pour faire le point et, accessoirement, essayer de mieux connaître sa nièce Akiko qu'elle n'a pas vu depuis bien longtemps.
- Emmanuel et son mari, Martin, avaient prévu un tour du Monde pour casser la routine, avec une étape importante, pour Martin, au Japon, où devait les rejoindre sa nièce Alizée. Mais Martin n'est plsu, Emmanuel est veuf et doit faire son deuil. Pour l'aider sur ce difficile chemin, son frère décide de forcer les choses, et c'est donc avec sa nièce qu'il va découvrir ce Japon que Martin voulait tant visiter.
Vous devinerez facilement la suite, même si vous aurez, certes, encore quelques détails à découvrir. Ce n’est pas un mauvais roman… mais il n’est pas non plus bon. Un peu trop facile et gentillet à mon goût. J’aime beaucoup la Bretagne et le Japon, mais cette manière de surfer sur ces 2 pays que beaucoup, comme moi, affectionnent, est vraiment très visible. Trop.